mardi 25 février 2020

[Décédé] - Pépita, perruche ondulée malade

J'ai reçu un appel de Virginie, la responsable de l'association Les ailes cassées & Co, à propos d'un perruche ondulée. Une dame l'avait contactée car elle avait une perruche malade et ne savait pas quoi faire. Les informations que nous avons eu étaient floues, voire contradictoires donc nous ne savons pas exactement ce qu'il s'est passé. Virginie m'a appelé pour avoir mon avis et savoir ce que je pensais de la situation. 

La propriétaire s'était rendue à une clinique vétérinaire mais n'avait pas les moyens de payer les soins, la clinique l'a donc aiguillé vers Virginie. La propriétaire a dit travailler toute la semaine, puis être chômage, ne pas pouvoir se déplacer chez le vétérinaire, ne pas pouvoir payer les soins, etc. Elle a dit faire des sauvetages, mais ne pas avoir les moyens de payer le vétérinaire. Bref, la situation était plus que floue. 

Virginie à proposé à la dame de céder la perruche à l'association, en échange elle aurait tous les soins nécessaires. La dame a refusé, disant qu'elle tenait à son oiseau. J'ai dit à Virginie que je devais me rendre chez le vétérinaire aviaire pour trois de mes pigeons et que je pouvais aussi emmener la perruche mais la dame devait participer aux frais. La propriétaire a donc accepté de me laisser la perruche à cette condition.

Je lui ai donné rendez-vous et elle m'a remis l'oiseau répondant au nom de Pépita, qui n'avait pas l'air en forme. La propriétaire m'a expliqué qu'elle faisait des sauvetages d'animaux et qu'elle avait trouvé la perruche dans un carton devant sa porte. Quelques jours plus tard, une dame l'alpague pour lui demander si elle avait trouvé l'oiseau. La propriétaire actuelle m'a dit avoir été choquée et lui avoir demandé pourquoi elle ne l'avait pas emmenée chez le vétérinaire. La dame lui a répondu que la perruche ne bougeait plus, qu'elle ne sortait plus de sa cage et que donc, elle ne l'intéressait plus. La propriétaire actuelle m'a donc dit qu'elle était connue pour récupérer des animaux et avait donc récupéré cette perruche, à qui elle avait acheté un mâle afin qu'elle ne soit pas seul. Le mâle s'occupait de sa femelle malade, mais la pauvre était mal en point. Visiblement son état s'était amélioré après quelques jours en cage mais s'était dégradé peu après. 

Donc, comme je disais au début, une histoire pas très claire. La perruche est donc à la maison. Je l'ai mise en cage sur une serviette. Elle n'arrêtait pas de tanguer et tentait d'escalader les barreaux de la cage, sans y parvenir. Je l'ai trouvé maigre mais elle a mangé et bu sans problème. J'ai peur qu'elle ai des problèmes neurologique car elle a des petits mouvements saccadés de la tête et les pattes qui restes parfois "mortes" sur les côtés, avant de refonctionner comme si de rien n'était. J’appellerai le vétérinaire demain afin de prendre rendez-vous pour tout le monde en espérant que Pépita tienne le coup.


Lundi 24 février : Pépita est toujours là. Je l'ai vue manger des graines et de la salade, et boire normalement. Elle piaille de temps en temps, sans doute pour appeler son mâle. Elle a toujours quelques mouvements de tête saccadés et des difficulté à tenir droit. Elle ne parvient pas à tenir sur un perchoir et ne parvient pas à dormir la tête entre les ailes, comme un oiseau sain de son espèce devrait. J'ai rendez-vous demain chez le vétérinaire aviaire à quatorze pour Pépita, Flanelle, Orphée et Ferry.

Mardi 25 février : Pépita est toujours là, aucune amélioration, ni dégradation de son état. Tout à l'heure, elle sera examiné par le vétérinaire. Espérons qu'il puisse faire quelque chose pour elle.


Pépita a été examinée par le vétérinaire aviaire et les nouvelles sont mauvaises. Elle est atteinte d'une hypertrophie brune de la cire. Les symptômes sont sévères, l'oiseau mange sans cesse, tangue, ne semble pas voir correctement et est maigre. Il n'y a malheureusement rien à faire. J'ai appelé la propriétaire pour lui dire que le vétérinaire avait suggéré de laisser l'oiselle avec son mâle jusqu'à ce qu'elle devienne apathique. À partir du moment où elle deviendra apathique, cela voudra dire que les symptômes sont arrivés à un point où l'oiseau ne plus vivre décemment. Il faudra donc l'euthanasier. La propriétaire viendra chercher Pépita jeudi afin que celle-ci profite de ses derniers moment en compagnie de son mâle.


Jeudi 27 février : Ce matin en me levant j'ai trouvé Pépita morte dans sa cage. Une triste découverte mais pas vraiment surprenante sachant dans quel état était l'oiselle. Elle sera, avec l'accord de sa propriétaire, enterrée aux côtés de mes autres animaux.

Vendredi 3 avril : J'ai retrouvé la vidéo de Pépita tournée le lendemain matin de son arrivée. Vous pouvez voir que la pauvre ne parvient même pas à escalader les barreaux de la cage.

vendredi 21 février 2020

[Libéré] - Arabesque, patte mutilée par cheveux

Pigeon repéré alors que j'attendais le bus. Il boitait sévèrement à la recherche de nourriture. J'ai jeté quelques graines, il est resté en périphérie pendant deux ou trois minutes, puis a fini par se jeter sur la nourriture au milieu des autres oiseaux. Je n'ai eu aucun mal à l'attraper. J'ai inspecté rapidement la patte, elle était prise dans des cheveux et très chaude, signe d'une infection. J'ai donc ramené l'oiseau à la maison pour m'en occuper dans de bonnes conditions.

Je lui ai donné un bain de patte anti-septique et ai retiré les cheveux. Ils avaient bien entamé la chaire mais n'ont pas laissé de plaie une fois enlevés. J'ai mis le pigeon en cage avec eau et nourriture, et lui donnerai un anti-biotique pendant sept jours.


Mardi 25 février : La patte d'Arabesque est encore bien enflée, je continue donc le traitement anti-biotique et anti-inflammatoire.


Jeudi 17 février : Arabesque se remet très bien de sa blessure et pourra être libéré d'ici quelques jours.


Dimanche 1er mai : Aujourd'hui, j'ai donné un bain de pattes à Arabesque afin de pouvoir le libérer tout propre, mais une croûte ramollie est partie laissant de la chaire à vif. Je remettrai donc la libération à mardi.


Mardi 3 mars : La patte d'Arabesque était en bon état, j'ai donc pu aller le libérer. Il s'est jeté hors de la caisse de transport et à fait plusieurs fois le tour de la grande place où il avait été capturé. Il était visiblement ravi de pouvoir revoler.

mercredi 19 février 2020

[À la maison] Flocon et Flanelle, en couple durant convaléscence

Flocon regardait avec beaucoup d'intérêt Flanelle qui se trouvait dans la cage voisine. Je pensait qu'il faisait ça parce qu'il se sentait seul. J'ai tout de même voulu faire un essai et les ai mis ensemble. Flocon s'approchait de Flanelle et mettait des petits coups de bec gentillets dans sa direction. Flanelle roucoulait pour lui dire de garder ses distances. Puis Flocon a commencé à faire lui faire des papouilles, Flanelle s'est couché au sol en faisant un petit bruit et en entrouvrant les ailes d’excitation. La mise en couple venait de se faire. Flocon ayant été capturé encore très jeune, je pense qu'il ou elle ne savait pas comment approcher son futur partenaire.C'était très mignon à regarder. Pour le moment Flanelle boite encore beaucoup, je vais donc les garder tous les deux, ensemble.
 
Dimanche 23 février : Flanelle et Flocon vont bien. J'irai chez le vétérinaire la semaine prochaine et ferai examiner la patte de Flanelle qui le fait toujours autant souffrir.

Mardi 25 février : Flanelle a été examiné par le vétérinaire aviaire qui a conclu à une arthrite. Le pigeon va être sous anti-inflammatoire pendant un mois, puis le médicament sera arrêté. Si Flanelle va mieux et reste bien, il sera libéré. S'il fait un rechute, il devra être sous médicament toute sa vie et là, c'est problématique.

lundi 10 février 2020

[Décédé] - Pixel, pigeon fatigué et branlant

J'ai reçu un appel de Virginie, responsable de l'association Les ailes cassées & Co, me demandant si je pouvais réceptionner un pigeon trouvé par une dame. Je lui ai dit que je pouvais sans soucis, et qu'elle pouvait directement donné mon numéro à la personne concernée. La dame m'a donc appelé pour me dire qu'elle avait trouvé un pigeon parterre mais ne pouvait pas le garder car elle avait quatre chats à la maison. Elle m'a proposé de le déposer directement en bas de chez moi, une très bonne nouvelle car ce jeudi j'avais beaucoup promené et étais fatigué.

Je suis donc descendu pour l'attendre et une fois arrivée, nous avons bien discuté. Elle s'occupe régulièrement de chats errants et abandonnés, et ce depuis des années. J'ai rapidement inspecté l'oiseau et en ouvrant le bec, ai noté la présence d'une masse blanchâtre qui m'a fait penser à la trichomonose. J'avais l'oiseau dans les mains et en pleine rue, je ne suis donc pas allé plus loin. J'ai remercié la dame, qui elle aussi m'a remercié, et nous nous sommes séparés. 

Une fois à la maison, j'ai pris un coton-tige afin de gratter cette masse que je pensais due à la trichomonose, mais surprise, il s'agit en fait... d'un petit bout de pomme de terre. J'ai bien examiné le pigeon et n'ai absolument rien noté de particulier: le poids était bon, pas de plaie, pas de bosse, rien excepté une grosse fatigue. J'ai mis le pigeon dans un coin avec de l'eau et de la nourriture sur lesquels il s'est jeté. Il a voulu se percher sur le bol d'eau mais a fini les deux pattes dedans. Une heure plus tard, je l'ai senti bien fatigué et j'ai commencé à me dire qu'il ne s'en remettrait pas...


Lundi 10 février : Il a ensuite passé la nuit en liberté dans une pièce. Il a été vu en train de déambuler et manger vers six heures du matin, puis s'est mis derrière la télé. Il y est resté, debout sur ses deux pattes pour dormir et semblait exténué. Vers huit heures, Pixel était étendu au sol, mort.

jeudi 6 février 2020

[Décédé] - Bouteille, pigeon épuisé

Pigeon attrapé dans un premier temps pour enlever les cheveux qu'il avait aux pattes. Une fois l'opération terminée, j'ai regardé l'oiseau un petit moment entre mes mains et l'ai trouvé fatigué. Je n'ai pas voulu prendre de risques et l'ai ramené à la maison. Je l'ai libéré dans une pièce car toutes les cages sur place étaient prises, le pauvre s'est jeté sur les graines qui avaient valsé des cages, puis il s'est couché pour se reposer. Son cas est très similaire à celui de Freddy, sauf que là, l'oiseau va en plus perdre des doigts.


Vendredi 7 février : Ce matin, Bouteille dormait tranquillement. Lorsque j'ai voulu l'attraper, je lui ai accidentellement arraché les plumes de la queue. Je l'ai mis en cage avec eau et nourriture afin de le requinquer.


Mercredi 19 février : Bouteille est beaucoup moins fatigué qu'à son arrivée. Il va tout de même rester en cage encore quelques jours.


Mardi 25 février : Bouteille est beaucoup moins fatigué mais a toujours mal à la patte. Je suspecte aussi une teigne car les plumes collées sur sa tête me font furieusement penser à celles de Damien, dans une moindre mesure. Je vais donc le mettre sous Itrafungol au cas où.


Lundi 9 mars : Bouteille faisait de grands mouvements de tête, d'avant en arrière et sur les côtés. Il faisait déjà ça lorsque j'avais déplacé la cage sur une étagère jeudi matin. J'ai eu peur de la maladie de Newcastle ou autre, mais j'ai mis la cage dans un autre endroit et le pigeon a arrêté ces mouvements étranges. Je l'ai remis sur une étagère, et rebelote, mouvements de tête. Monsieur n'apprécie pas d'avoir des choses au dessus la tête, cela le stresse. Je vais donc laisser la cage au sol avec rien au dessus. Je l'ai également libéré dans une pièce ce matin afin qu'il se dégourdisse les ailes. Il bien apprécié de pouvoir voler.


Samedi 14 mars : Bouteille va toujours bien. L'aspect des plumes s'améliore. Il supporte difficile l'enfermement, je le sors donc souvent. C'est un oiseau très curieux, qui adore explorer les moindres recoins de la pièce et qui n'est pas spécialement farouche.


Mercredi 1er avril : Bouteille est au mieux de sa forme. Rien à voir avec le pigeon épuisé arrivé à la maison. Les plumes sur sa tête ont presque retrouvé un aspect normal. Je l'ai laissé en liberté dans mon studio, c'est un oiseau très sage et très curieux. Il s'agit à priori d'un mâle car il a fait la cour à Spitz et fait des appels de nid très rauque. Je pense le garder encore un peu afin de vérifier qu'il ne fasse pas une rechute, et le libérerai.


Vendredi 3 avril : Les nouvelles ne sont pas bonnes pour Bouteille. J'avais mentionné le fait qu'il mettait la tête sur le côté pour regarder en l'air, puis ne l'avais plus vu faire ça. Depuis que je l'ai mis en liberté en intérieur, les symptômes se sont aggravés, je vous laisse juger avec la vidéo. Je pense qu'il s'agit de la PMV et vais le mettre sous vitamines pendant quelques jours, si pas de changements, j'irai chez le vétérinaire. En attendant, il reste en liberté dans une pièce.


Mardi 14 avril : Aujourd'hui j'avais rendez-vous chez le vétérinaire. Je me suis levé vers six heures du matin afin de prendre le bus vers sept heures et être devant la gare à huit heures pour récupérer une tourterelle et un pigeon malade. Je ne pouvais pas prendre le panier compartimenté pour les transporter car au moins deux des oiseaux étaient contagieux. J'ai donc mis deux caisses de transport l'une sur l'autre fixées sur l'armature d'une charrette à l'aide de tendeurs. J'ai mis Bouteille dans celle du bas et mon perroquet dans celle du haut. J'ai également pris une troisième caisse que j'ai transportée dans la main gauche, et mis un petite cage dans un glacière à large lanières afin de la transporter sous le bras. Autant dire que j'étais bien chargé. Je me suis rendu au bus et une fois à l'intérieur, j'ai senti une odeur horrible de crotte de chien. J'ai cherché l'origine d'abord sous mes chaussures, puis chez mes voisins, et je me suis rendu compte que j'avais roulé dans une bouse... Depuis qu'un lotissement a été construit près de mon lieu de travail, il y a beaucoup de gens avec des chiens qui ne ramassent jamais les déjections. Résultat, ils prennent tous les même chemin qui est un vrai champ de mine.

Le voyage s'est bien passé, j'ai nettoyé la déjection et suis allé à la gare afin de rencontrer S qui m'a remis le pigeon Noaï et la petite tourterelle Mimi. Je suis ensuite rentré chez moi car la rendez-vous n'était qu'enfin d'après-midi. J'ai ensuite prix le bus et quarante minutes plus tard, j'étais arrivée à bon port. À cause du virus, j'ai dû attendre dehors. Plusieurs personnes sont venues et on voulu acheter des croquettes mais les employés leur ont dit qu'il fallait prendre rendez-vous afin qu'il n'y ai qu'une personne à la fois à l’intérieur et plusieurs personnes sont repartis dépitées. J'ai attendu un peu à l'extérieur et joué avec le chat handicapé de la clinique qui jouait dans les feuilles. Le vétérinaire est sorti, je lui ai donné mon perroquet Rio et Bouteille. Il n'a rien remarqué d'inhabituel chez Rio qui a tout de même été mis sous anti-biotique, au cas où. Quant à Bouteille, il a dit qu'il était libérable tant qu'il parvenait à se nourrir seul. J'ai eu un gros doute là dessus mais je n'ai pas voulu discuter alors j'ai laissé passer et lui ai donné la tourterelle et le pigeon avec la trichomonose.

Une fois rentré à la maison, Bouteille a été laissé libre. Il se sent très seul et a plusieurs fois fait l'appel du nid. Je lui ai mis un miroir pour essayer d’atténuer sa solitude. Il a roucoulé un peu en se voyant, puis a passé une bonne partie de son temps couché juste devant. Je ne pense absolument pas qu'il soit libérable et ne sais pas vraiment quoi faire de lui. Je ne souhaite pas prendre le risque de le mettre avec mes oiseaux en volière pour le moment. Je vais donc réfléchir, demander conseils et aviserai ensuite.


Jeudi 16 avril : Ce matin j'ai été réveillé par des battements d'ailes. J'ai cru que Bouteille était en train de se dégourdir les ailes comme le font souvent les pigeons, mais en me levant je l'ai trouvé sur le côté en train de se débattre. Il n'arrivait plus à se lever. Une fois sur ses deux pattes, il s'est mis à tourner en rond à reculons. Il s'est également cogné plusieurs fois contre les murs et avait le cou qui se tordait affreusement, je voyais bien qu'il souffrait. J'ai donc passé un coup de téléphone au vétérinaire pour savoir si je pouvais leur déposer euthanasie. Je me suis donc rendu au cabinet en début d'après-midi et l'y ai déposé.

[Libéré] Flanelle, pigeon boiteux

Une dame assise sur un banc était en train de nourrir un groupe de pigeons. Je me suis approché pour les regarder alors que j'avais Bouteille dans la main. J'ai alors noté la présence d'un pigeon boiteux. J'ai dit à la dame que l'oiseau était blessé, visiblement elle ne parlait pas français mais a saisi le pigeon par la plus grande plume de l'aile. L'oiseau a voulu s'enfuir mais la dame ne l'a pas lâché. J'en ai alors profité pour le saisir. J'ai remercié la dame et suis parti. 

Une fois à la maison j'ai examiné Flanelle, mais il ne présentait aucune masse ou plaie. Il s'est peut-être blessé en atterrissant ou a pris un coup. Quoiqu'il en soit, il boite bien et va rester en cage jusqu'à ce qu'il remarche correctement.


Vendredi 14 février : Flanelle boite toujours affreusement, et passe beaucoup de temps couché. Je pense faire une visite de groupe chez le vétérinaire la semaine prochaine avec elle, Ferry et Orphée.


Flocon regardait avec beaucoup d'intérêt Flanelle qui se trouvait dans la cage voisine. Je pensait qu'il faisait ça parce qu'il se sentait seul. J'ai tout de même voulu faire un essai et les ai mis ensemble. Flocon s'approchait de Flanelle et mettait des petits coups de bec gentillets dans sa direction. Flanelle roucoulait pour lui dire de garder ses distances. Puis Flocon a commencé à faire lui faire des papouilles, Flanelle s'est couché au sol en faisant un petit bruit et en entrouvrant les ailes d’excitation. La mise en couple venait de se faire. Flocon ayant été capturé encore très jeune, je pense qu'il ou elle ne savait pas comment approcher son futur partenaire.C'était très mignon à regarder. Pour le moment Flanelle boite encore beaucoup, je vais donc les garder tous les deux, ensemble.


Dimanche 23 février : Flanelle et Flocon vont bien. J'irai chez le vétérinaire la semaine prochaine et ferai examiner la patte de Flanelle qui le fait toujours autant souffrir.


Mardi 25 février : Flanelle a été examiné par le vétérinaire aviaire qui a conclu à une arthrite. Le pigeon va être sous anti-inflammatoire pendant un mois, puis le médicament sera arrêté. Si Flanelle va mieux et reste bien, il sera libéré. S'il fait un rechute, il devra être sous médicament toute sa vie et là, c'est problématique.


Mercredi 11 mars : J'ai libéré Flanelle et Flocon en volière car j'ai décidé de confier la femelle à l'association Les ailes cassées afin qu'elle soit libérée. Flanelle, lui, restera ici et je le remettrai en cage pour qu'il continue de recevoir son anti-inflammatoire. En attendant, il a apprécié sa matinée en volière en prenant un bain et se séchant au soleil aux côté de sa belle.