Deuxième et dernière capture de la journée. J'ai repéré ce pigeon en train de déambuler devant l'immeuble où j'avais récupéré Bathory et ses poussins. Il lui arrivait de trébucher lorsqu'il marchait sur la longueur du fil qui trainait au sol. J'ai jeté quelques appâts, ai attendu peut-être cinq minutes puis l'ai saisi quand j'en ai eu l'opportunité. J'ai dû l'emmener à la maison car je n'avais pas mes ciseaux sur moi et ne savais pas s'il y allait y avoir des blessure. J'ai examiné la patte et vu que le fil n'avais pas cillé la chaire, j’ai donc pu tout enlever sans plaie. J'ai voulu laisser Amon dans une cage pour qu'il puisse manger un peu, mais il était tellement agité qu'il a réussi à s’échapper. J'ai donc fini par le libérer sur mon balcon. La rue où il a été capturé se situant à deux rues d'ici, il n'aura aucun soucis pour retrouver son chemin.
jeudi 27 juin 2019
vendredi 21 juin 2019
[Libéré] - Joséphine, pattes liées par touffe de cheveux
Quatrième et dernière capture de la journée. Alors que je me préparais à partir, j'ai repéré Joséphine ébouriffée, couchée au sol. J'ai jeté quelques graines, la pauvre s'est levée puis a trébuché. Elle a tant bien que mal et sans se méfier marché à mes pieds, ce qui m'a permis de l'attraper sans problème. La pauvre avait une impressionnante touffe de cheveux longs et gris qui lui liait les pattes. J'ai pu tout enlever sur place, bien qu'ils avaient commencé à entailler la chaire, ils n'avaient laissé aucune plaie. J'ai libéré la pigeonne au sol, elle ne s'est pas envolée, préférant manger les restes de graines.
[Libéré] - Bastien, fil noir au deux pattes
Troisième pigeon de la journée, capturé quelques minutes après Gabin. Bastien avait une paire de fils noirs à chaque pattes. Ce pigeon n'était pas spécialement farouche bien qu'il ait assisté à la capture et libération de son prédécesseur. Après avoir tout enlevé, je l'ai relâché, il est alors allé se percher aux côtés de Gabin qui se reposait sur une chaîne en hauteur.
[Libéré] - Gabin, pigeon avec pattes liées par fil
Deuxième pigeon de la journée. Après la capture de Léon, j'ai changé de zone. Quelqu'un avait jeté du pain et lorsque je suis arrivé, une groupe d'oiseaux était déjà en train de manger. J'ai jeté quelques graines et ils se sont précipités dessus, c'est à ce moment là que j'ai vu Gabin trébucher en venant vers la nourriture. Il n'a pas été difficile à attrape, j'ai pu tout enlever et le libérer sur place sans problème.
[Libéré] - Léon, une patte gonflée
Premier pigeon de la journée. Je l'ai repéré en train de boiter modérément au milieu des autres oiseaux. Il m'a fallu une bonne demi-heure avant de pouvoir le capturer car il était très méfiant et restait à la périphérie du groupe qui mangeait à mes pieds. Au bout d'un moment, il a fini par se joindre aux autres et j'ai pu le saisir. Léon avait un fil à viande qui lui saucissonnait le haut de la patte et coupait la circulation du sang faisant gonfler tout le membre. J'ai pu tout enlever sur place et ai voulu le garder avec moi deux jours afin qu'il reste au calme et que sa patte dégonfle mais le saligot m'a filé entre les doigts ne me laissant que quelques plumes de queue.
lundi 17 juin 2019
[Libéré] - Coza, un fil à la patte
Ce matin en partant travailler j'ai fait le tour de mes zones de captures et n'ai trouvé qu'un oiseau avec des fils aux pattes. J'ai déjà eu des périodes de vaches maigres en terme de captures, mais là c'est inhabituellement long et surprenant. Triste pour le blog qui reste en berne mais bon pour les oiseaux. Le pigeon attrapé d’aujourd’hui a pu être libéré sur place car pas de plaie.
mercredi 12 juin 2019
[Libéré] - Kylian, bébé goéland au sol et en danger
En retournant travailler juste après la capture de Bathory et ses petits, j'ai repéré un jeune goéland qui se cachait devant une porte d'entrée. Je me suis approché pour le regarder et ai essayé de lui faire peur afin
de vérifier s'il pouvait voler. Il n'a pas décollé, je l'ai donc saisi
pour vérifier s'il n'avait pas de blessure, il a alors poussé un cri de
peur strident qui m'a vrillé les tympans. Un goéland adulte a fait son
apparition en faisant des cercles à basse altitude et nous fixant, il
s'agissait sans doute de l'un de ses parents. J'ai reposé le petit sol,
il a alors régurgité un poisson à cause du stress. Les parents
semblaient continuer de le nourrir comme c'est souvent le cas, je me
suis donc éloigné afin de le laisser tranquille. Le petit s'est alors
mis à courir en direction de la route, une artère très fréquentée. Je
l'en ai empêché, il a fait volte-face et couru dans l'autre sens. Il a
maladroitement tenté d’escalader un rebord de cinquante centimètres,
sans voler, mais s'est raté et est resté au sol. Je me suis finalement
décidé à le prendre car il aurait été trop dangereux de le laisser là,
près de la route et à la merci de gens peu scrupuleux Je l'ai mis sous
mon bras, puis suis allé attendre le bus. Tous les monde me regardait,
un fois dans le véhicule, rebelote. Il y avait beaucoup de monde, la
chaleur était étouffante et le petit commençait à hyperventilé. Je lui ai couvert les yeux avec une écharpe en espérant que cela le calmerai. Une fois arrivé sur mon lieu de travail, je l'ai mis dans la salle de bain, en ayant pris soin de mettre Maurine dans la studio. Regan couve la journée, elle donc tranquille avec Amandine. J'irai porter le goéland chez le vétérinaire demain. Ils prennent en charge les blessés et petits qui peuvent être libérés.
Il faut savoir que chez les goélands et d'autres espèces, il est extrêmement fréquent que les petits restent au sol même s'ils ne peuvent pas voler. C'est un stade normal dans leur vie de jeune. Les parents continuent de s'en occuper, à les nourrir et les protéger. Beaucoup de gens pensent qu'un jeune au sol est forcément tombé du nid et abandonné par ses géniteurs, hors c'est faux. Pensant bien faire, ils ramassent l'oiseau alors que celui-ci était toujours sous la garde de ses parents. Si l'oiseau n'est pas en danger immédiat, vus pouvez soit le laisser au sol, soit le mettre en hauteur sur la zone où vous l'avez trouvé.
Il faut savoir que chez les goélands et d'autres espèces, il est extrêmement fréquent que les petits restent au sol même s'ils ne peuvent pas voler. C'est un stade normal dans leur vie de jeune. Les parents continuent de s'en occuper, à les nourrir et les protéger. Beaucoup de gens pensent qu'un jeune au sol est forcément tombé du nid et abandonné par ses géniteurs, hors c'est faux. Pensant bien faire, ils ramassent l'oiseau alors que celui-ci était toujours sous la garde de ses parents. Si l'oiseau n'est pas en danger immédiat, vus pouvez soit le laisser au sol, soit le mettre en hauteur sur la zone où vous l'avez trouvé.
Jeudi 13 juin : J'étais réveillé très tôt ce matin, je pensais donc aller nourrir les chats avec Kylian dans un sac (je remplace un bénévole pendant trois jeudis), rentrer chez moi et attendre neuf heures le bus qui me conduirait chez le vétérinaire aviaire. J'ai mis l'oiseau dans un sac et... je peux dire qu'il n'a pas du tout apprécié et s'est mis à hurler. Voyant que ça ne fonctionnerait pas, je l'en ai sorti illico. N'ayant ni cage, ni carton, je l'ai emballé dans une serviette et porté sous le bras tout le long du trajet. J'ai préféré ne pas aller nourrir les chats avec lui, je suis donc rentré directement à la maison. J'ai attendu neuf heures, l'ai remballé et suis allé attendre le bus. Il est resté couché sur mes genoux à regarder par la fenêtre pendant tout le trajet, je lui avait juste couvert la tête pour qu'il ne me voit ni moi, ni l'intérieur du véhicule. Il n'avait que la tête de couverte, le reste du corps à l'air libre car il faisait assez chaud et le voyage durait environ une heure.
Arrivée à la clinique, j'ai discuté avec l'aide vétérinaire qui m'a expliqué que les bébés goélands restaient parfois au sol mais que les parents continuaient de s'en occuper. Je lui ai dit que je savais, mais que celui-ci se trouvant sur une artère du centre ville, il aurait été dangereux de l'y laisser. Elle l'a pris dans ses bras, a dit qu'il était trop jeune pour voler et l’a emmené avec ses "frères et sœurs". Visiblement la clinique avait reçu d'autres petits (c'est la période), et d'après ce que j'ai compris, ils seront libérés une fois adultes chez une employée qui "va finir avec une colonie sur son toit (rires)". Ils sont donc entre de bonnes mains.
[Libérés] - Bathory et ses deux pigeonneaux
Avant-hier
j'ai reçu l'appel d'une connaissance à la recherche de quelqu'un pour
aller chercher deux pigeonneaux sur un chantier. Tout le centre ville
est en réfection, tous les immeubles subissent plus ou moins de travaux
et celui-là allait avoir la façade refaite. L'édifice est pourvu de
nombreux trous qui servent de nichoirs à divers oiseaux tels que les
moineaux et les martinets. Un de ces trous était plus grand que les
autres à cause de la vétusté des lieux et un couple de pigeons y avait
élu domicile avec sa paire de petits. La zone se trouvant littéralement à
une rue de mon domicile, j'ai donc dit que je pouvais m'en occuper.
J'appelle le maître d’œuvre qui était en contact avec ma connaissance
afin de convenir d'un rendez-vous qui sera fixé le lendemain à onze
heures.
Je
me présente donc aujourd'hui devant l'immeuble, harangue un ouvrier en
train de décroûter la façade. Il était au courant que je devais passer,
m'ouvre la porte et me dit de monter au quatrième étage. Arrivé sur
place, un autre ouvrier m'accueille, je lui tends la cage de transport
pensant qu'il allait y mettre les oisillons mais me dit poliment qu'il
ne préfère ne pas les toucher, ce que je conçois sans problème. Il
m'invite donc à enjamber la fenêtre, monter sur l’échafaudage et à
prendre les petits moi-même. Arrivé devant le nid creusé dans le mur,
surprise ! Non seulement il y a la paire de pigeonneaux mais un des
parents est avec ! Les ouvriers avaient eu la bonté de laisser une zone
sans filet afin de laisser passer les parents. Je m'empresse d'attraper
l'adulte avant qu'il ne s'enfuit, l'enfourne dans la cage puis prends
les poussins délicatement pour les y mettre aussi. Le monsieur est
surpris qu'il y en ait trois, me dit qu'il a bien vérifié tous les
autres nids qui sont vides. Je le remercie chaleureusement et repars
avec les trois pigeons.
J'ai
était très content d'attraper l'adulte avec car je n'aurai pas à
nourrir et élever les petits moi-même, il n'y aura pas de risque
d'imprégnation de l'homme mais surtout, je pourrai les libérer tous les
trois en même temps lorsque les poussins voleront et le parent pourra
éduquer ses petits. Pour le moment, je les garde en cage. L'adulte, que
je pense être la femelle à cause de sa petite carrure, s'est jetée sur
la nourriture. Quant aux petits, ils sont allés se réfugier dans un
coin. Lorsqu'ils seront un peu plus grands et commenceront à trotter, je
les mettrai tous dans la salle de bains afin qu'ils s'exercent au vol.
Samedi 15 juin : Bathory et ses petits salissaient la cage à une vitesse effarante, surtout les petits qui adorent se baigner. Pour éviter d'avoir à changer la cage quatre fois par jour, j'ai préféré faire un petit parc avec des bacs en plastique. La zone est plus grande, les pigeonneaux peuvent trotter et se soulager sur un plus grand espace. J'ai aussi libéré la femelle dans le studio. Elle a commencé par appeler ses poussins, ils lui répondaient mais elle n'arrivait pas à les localiser. Au bout d'un moment elle les a repérés, à continuer de leur "parler" et est allée les rejoindre pour les nourrir. Le reste du temps, elle reste sur le canapé à les surveiller. Il n'y a aucun problème entre elle, Amandine et Maurine.
Lundi 17 juin : De retour au travail, mon premier réflexe a été de vérifier si tout le monde allait bien et là, le drame, plus de pigeonneaux dans le parc. Je les ai cherchés et retrouvés rapidement cachés sous le canapé. Le studio où je suis actuellement subit de menus travaux, deux pans de mur ont été grattés car la croûte superficielle tombait en morceaux. Ils vont ensuite être enduits d'isolant et repeints. J'ai donc dû enlever le parc et ai laissé les petits en liberté. Ils restent dans leur coin à se cacher entre les pieds de la chaise et personne ne vient les embêter. Demain je ferai un autre petit parc, ailleurs, pour éviter d'avoir des fientes de partout.
Mercredi 19 juin : Bathory est en fait un mâle. Il harcèle la pauvre Maurine en lui faisant la cour, l'infortunée passe son temps à courir pour le fuir. Lorsqu'il n'est pas occupé à lui faire des avances, il passe son temps à s'occuper de ses petits et roucouler des heures pour attirer une femelle. J'ai refait un petit enclos pour mettre les poussins et éviter d'avoir des fientes de partout. Je leur ai ajouté un abris pour qu'ils se sentent en sécurité (j'aurai dû le faire plus tôt). Ils grandissent vite, mangent beaucoup et commencent à battre des ailes. Les deux ont des plumes qui poussent sur les doigts des pattes et ramassent toutes les saletés dans lesquelles ils marchent !
Lundi 24 juin : Bathory et ses petits vont bien. Le mâle s'est mis en couple avec Maurine mais continue de s'occuper seul de ses poussins. Les pigeonneaux trottent de plus en plus pour explorer le studio mais restent cachés la plupart du temps sous le canapé. Le noir commence à s’entraîner à voler mais le marron ne semble pas encore intéressé.
Vendredi 28 juin : Maurine et Bathory font leur petite vie de couple en attendant que celle-ci rejoigne sa famille d'accueil qui possède un mâle veuf. Maurine souhaitait nicher sous le canapé, Bathory souhaitait nicher sur une étagère que Maurine ne pouvait pas atteindre, et c'est finalement sous l'armoire que le couple a élu domicile. J'ai ramassé et stérilisé quelques brindilles que j'ai cachées à droite, à gauche. Bathory a passé un bon moment à les chercher et les ramener une par une à sa nouvelle compagne. Quant aux pigeonneaux, ils vont très bien et poussent à toute allure. Le noir commence à décoller du sol en essayant de voler, le marron est toujours à la traîne et n'essaye même pas.
Samedi 29 juin : Les pigeonneaux volent tous les deux, je les ai vu s’entraîner à voler d'un meuble à l'autre. Je pense les ramener à la maison la semaine prochaine et commencer à les habituer à l’extérieur en les laissant en cage pour qu'ils repèrent les environs, puis je les libérerai avec leur père.
Mercredi 3 juillet : Tout le monde va bien. Peu après le départ de Maurine, Bathory a passé quelques heures à roucouler atrocement fort, sans doute pour l'appeler. Puis il a voulu faire la cour à Amandine. Regan, son mâle, n'a pas du tout apprécié et l'a chassé promptement. Il a ensuite essayé de faire la cour à un de ses pigeonneaux, le noir, mais celui-ci lui a mis un coup de bec sur la tête avant de partir en courant. Il a finalement laissé tomber les roucoulements et reste tranquille. Bathory continue de nourrir de temps en temps ses petits, mais les pousse de plus en plus à se nourrir seuls. D'abord en les ignorant lorsqu'ils réclament à manger et ensuite en les "appelant" lorsqu'il va manger lui-même. Les petits le regardent alors picorer et font maladroitement pareille. Le noir semble adorer le récipient pour graines, je le surprends souvent en train de dormir dedans la journée.
En y repensant, j'avais oublié que c'était la saison de reproduction pour les goélands, tous les toits sont occupés par un ou plusieurs petits. Il ne serait donc pas sage de laisser les pigeonneaux sur mon balcon avec une telle flopée de prédateurs aux alentours. J'ai donc contacté l'association Les ailes cassées & Co pour savoir s'ils pourraient prendre le trio le temps que les petits finissent leur apprentissage et soient libérés sur une zone plus sécurisée. La gérante a gentiment accepté, j'attends donc les instructions pour lui apporter les oiseaux.
Jeudi 4 juillet : J'étais censé recevoir un message hier de la gérante de l'association Les ailes cassées & Co pour confirmer ou non un rendez-vous aujourd’hui mais je n'ai rien reçu, la pauvre a été très occupée par le sauvetage d'une trentaine de tourterelles. Je pensais donc rentrer chez moi ce matin sans prendre les oiseaux. Heureusement, j'étais trop fatigué et suis resté sur mon lieu de travail. C'est alors que j'ai reçu un message de la gérante pour savoir s'il était possible de fixer un rendez-vous l'après-midi même afin de récupérer Bathory et ses petits. J'ai accepté mais il a fallu attraper les trois pigeons. N'ayant pas eu de nouvelles la veille, je ne les avais pas capturés de nuit comme je le fais d'habitude, plus facile et moins stressant pour les animaux. J'ai donc passé un quart d'heure à leur courir après, puis je les ai mis en cage jusqu'à l'heure prévue. J'en ai profité pour prendre leurs pattes en photo, j'ai rarement vu des doigts avec autant de plumes.
Nous nous sommes retrouvés à l'heure convenue, la dame venait juste de récupérer une très jeune tourterelle avec une grave blessure à la tête (crâne apparent?) probablement le fait d'un goéland. Nous n'avons pas pu discuter longtemps car l'oiseau avait d'urgence besoin de soins. J'ai donc laissé Bathory et ses petits entre de bonnes mains. Je ne sais pas si la dame va les garder longtemps car les petits volent très bien mais suivent encore leur père pour apprendre à se nourrir. Quoiqu'il en soit elle est compétente et saura procéder au mieux pour le trio.
Vendredi 5 juillet : Bathory et ses petits sont arrivés à
bon port. Ils ont été mis en volière avec d'autres pigeons. La
propriétaire m'a dit que Bathory est un sacré dragueur qui ne perd pas
de temps mais reste très proche de ses pigeonneaux, chose que je
peux confirmer. Un grand merci à l’association pour cette prise en
charge et à la libération qui pourra se faire dans de meilleures
conditions que sur mon balcon.
Lundi 22 juillet : Bathory et ses deux pigeonneaux, qui avaient été pris en charge par l'association Les ailes cassées & Co en vue de leur libération, ont été libérés. Vous pouvez les voir méconnaissables sur la vidéo filmée par la dame ICI. Le père a été renommé Oan, et les petits baptisés Oana (marron) et Océa (noire). Un grand merci à l'association pour son aide !
Lundi 4 novembre : J'ai reçu des nouvelles de l'une des petites de Bathory. Il s'agit du pigeonneau marron à queue blanche, devenu un bel adulte. La demoiselle se fait faire la cour par Noé, magnifique pigeon roux et blanc. Vous pouvez voir quelques postes de ce monsieur ici, ici et là. Crédits photos : Les Ailes Cassées & Co.

